Ces remontées capillaires aboutissent à une perte importante de l’isolation thermique ayant notamment pour conséquences des frais accrus de chauffage.
On sait qu’une maison est humide est plus difficile à chauffer qu’une maison « sèche » car un mur humide conduit plus facilement le froid.
De plus, on sait également que l’air sec est moins énergétivore, c’est à dire qu’il demande moins d’énergie, que l'air humide pour mettre une pièce à une température désirée.
Ceci a pour conséquence que pour chauffer un air humide, on constate régulièrement un surcroit de 30%* d’énergie nécessaire par rapport à un air sec.
Pour en savoir plus* :
Pour mettre à 20°C un logement d’environ 80 m2 (soit 200 m3 d’air), il faut dépenser par heure : 2800 watts pour un air à 45% d’humidité relative / 3800 watts pour un air à 90% d’humidité relative. Soit un surcroit de 30%.
=> Ces conséquences résultent de problèmes d'humidité par remontée capillaire.